En 1991, le Service des loisirs et de la vie communautaire annonçait que la ville ne couvrait plus la responsabilité civile des organismes de loisirs (organismes communautaires n’étant pas couvert) pour les activités sous leur juridiction l’exception des activités contrat.
Face à cette problématique, la ville s’engageait à trouver une solution pour permettre aux bénévoles et aux organismes d’assurer leur sécurité.